My name is Herby 15

Publié le par desperate housecats

Aujourd'hui, j'ai subi une terrible humiliation ... je ne sais pas pourquoi je viens en parler ici, sans doutes pour exorciser cette terrible expèrience que je ne souhaiterais au grand-jamais à mon pire ennemi (quoique ... )
La mâtinée n'a pas commencé sous de très bons augures, puisque à 8h30, le rouquin et moi, étions "emballés" dans nos caisses de transports respectives, et à 9h nous étions dans la salle d'attente du vétérinaire (à chaques fois que je sens ces odeurs et ces parfums uniques, mon enfance me revient par bouffées, et je me prend à espèrer que mon cher Maitre est de retour  mais, hélàs, ce n'était pas lui, mais un petit bonhomme beacoup plus jeune, énergique, et presque "militaire" )
Ils nous inspecté l'intèrieur de la gueule (je souffre modérément, ça va pour l'instant) puis y a "fourré" une espèce de coton-tige ... ça m'a rappelé ces series télés hyper violente que ma maitresse regarde et dont Fitz se délecte (j'ai une préfèrence pour les documentaires, l'opéra, et la chaine historique, mais bon  )mais là, le rouquin, était moins enthousiaste que sur le canapé devant la télé .
De retour à la maison, je dois avouer que nous étions un peu stressés et pendant que je calmais mes angoisses en grignotant, Fitz est venu me chercher des noises ! Pour changer ...
J'ai donc décidé d'aller inaugurer la litière fraichement changée par notre maitresse, sachant que là, le malotru allait me laisser en paix ... et bien, détrompez-vous ! alors que j'étais en plein milieu d'un acte qui necessite de ma part paix et concentration, le voyou s'est introduit dans la caisse, et a commencé à me pousser vers la sortie ... J'ai eu beau resister, sa force et sa détermination étaient irresistibles, je me suis donc retrouvé pratiquement à cheval sur le rebord de la caisse ... là-dessus notre maitresse est arrivée en rugissant "Fitz, bon sang ! arrête de faire chier Herby !" "trop tard, c'est fait" ai-je eu envie de répondre en voyant le résultat : des feces en équilibre précaire sur le rebord et sur le sol ! mortifié, je me suis enfui malgré les paroles apaisantes de notre maitresse. Elle a dû tout nettoyer tout en réprimandant copieusement le rustre !
Mon Dieu, mais qui va me sortir de cette galère ?

Publié dans Correspondance d'Herby

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article